My Name is Fuzzy
My Name is Fuzzy est le projet musical interdisciplinaire de l’artiste autodidacte suisse Bastien Bron (né en 1984), réputé pour sa fusion innovante de l’art et de la musique.
Brouillant les frontières entre l’art contemporain et la musique populaire, son travail explore de nouvelles façons de présenter la musique pop en dehors des plateformes traditionnelles, dans le but de créer une expérience accessible à tous les publics.
Grâce à son travail, My Name is Fuzzy remet en question les frontières traditionnelles de l’art, en promouvant une expérience musicale partagée, humoristique et non conventionnelle qui trouve un écho auprès d’un large éventail d’individus. Ses projets jettent un regard ironique sur la façon dont la société aborde la musique aujourd’hui, remettant en question son omniprésence et la façon dont elle est consommée à l’ère numérique.
L’une de ses créations les plus remarquables, La Machine à Tubes [The Hit Machine], illustre cette approche en mêlant des éléments artistiques d’avant-garde et grand public afin de favoriser l’inclusion et d’attirer un large public. Cette installation a été présentée dans de grands festivals et centres d’art à travers l’Europe, notamment Ars Electronica (Autriche), Kikk Festival
(Belgique), Fomo Festival (France), HEK Basel (Suisse) et Mapping Festival (Suisse).
Depuis 2020, Bron expérimente des projets interactifs qui remettent en question notre perception de la musique à une époque où elle est de plus en plus utilisée.
notre perception de la musique à une époque où elle est omniprésente. Son travail combine l’installation, la vidéo et les technologies modernes et rétro, offrant une exploration ludique et stimulante de la façon dont nous percevons le son et la musique aujourd’hui.
La Machine à Tubes
« La Machine à Tubes », c’est l’alliance de la musique pop et des nouvelles technologies qui donne naissance aux chansons uniques de My name is Fuzzy.
Poursuivant son approche novatrice de la musique pop, Bastien Bron, alias My name is Fuzzy, explore aujourd’hui l’intelligence artificielle, en embrassant ses fantasmes et ses limites. Au lieu de se demander si l’IA va sauver ou détruire l’humanité, il préfère tester sa capacité à nous divertir.
Bien qu’elle s’appelle The Hit Machine, rien ne garantit qu’elle produira un seul tube. Comme un artiste rêvant de créer « le » tube, la machine essaie une infinité de combinaisons de notes et de paroles, sans savoir si elle y parviendra. Elle est nourrie de mélodies et de thèmes imaginés par l’artiste, que l’IA utilise pour créer de nouveaux contenus. Le public est invité à interagir avec la machine et à faire des choix pour générer de nouvelles chansons.
Dansante, ludique ou troublante, l’œuvre jette un regard ironique sur les algorithmes qui façonnent nos goûts et nos désirs.
La machine joue avec sa propre obsolescence, mêlant technologie contemporaine et artisanat rétro-futuriste.
CRÉDITS :
Conception et direction artistique : Bastien Bron
Programmation et IA : Tammara Leites
Programmation numérique : Clément Borel
Développement et direction technique : Harold Weber
Scénographie : Julian Thompson
Identité visuelle : Yann Do
Théorie et programmation musicale : Cédric Liardet
Collaboration artistique et distribution : Laetitia Gauchat
Vidéo : Das Playground
Remerciements à La Case à Chocs, Charlotte Tonini, Baptiste Milesi, Le Pommier, Yann Zitouni
Soutien : La Case à Chocs (CH), Loterie Romande, Pro Helvetia – Swiss Arts Council, Migros Culture Percentage, Canton of Neuchâtel, City of Neuchâtel, Fondation culturelle BCN
Production: L’Association des Amis Flous (Neuchâtel – CH)
